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Promo 67 : encore une célébrité !
Quelle classe cette promo 67 ! Après Robert Burgniard, c’est notre ami Jean-Pierre Gaillard qui a eu droit aux honneurs de la presse dans un article daté de juin 2008 et intitulé :
Les «Grandes vacances» de Jean-Pierre Gaillard
Je cite :
« Après 35 ans de bons et loyaux services, Jean-Pierre Gaillard quitte l’école, « non pas pour entrer dans la vie active » comme il le dit avec humour, mais pour prendre une retraite bien méritée.
Sa carrière a commencé en 1973. A sa sortie de l’Ecole normale, il effectue son baptême du feu (…)
Un tantinet avant-gardiste, à Cran Gevrier, Jean-Pierre Gaillard s’investit alors dans la construction de la BCD et du réseau informatique (…)En 1989, il arrive à Metz-Tessy. (…) et innove : premier réseau informatique Mac, première liaison HDSL (avant l’ADSL)… Il fait même parler les ordinateurs ! »
Alors là ! Il arrivait à faire parler les ordinateurs !! Ben, plus rien ne m’étonne !!
Félicitations à notre ami Jean-Pierre et … BONNE RETRAITE !!!
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Pensées profondes
Quelques pensées profondes qui méritent d’être connues mais que Méchoui a modestement déposées dans un coin trop discret de ce blog :
. Les gens, c’est comme les champignons. Quand on cherche au hasard, on ne trouve que les mauvais !
. Tant va la cruche au soleil qu’à la fin elle bronze.
. Savez-vous que notre Johnny Halliday national se fait du souci pour notre cher Christian ? Je l’ai en effet entendu hurler : « Qui veut Mémé ce soir ? »Florilège bien sûr à compléter en fonction de l’inspiration de chacun d’entre vous.
Par exemple une petite nouvelle qui mérite d’être connue :
. Excusez-moi, j’y vais, j’ai des bambous à couper. -
La page culturelle de Gègène
Conseil de lecture pour la bande de lettrés que vous êtes tous : « Le train Annemasse-Sixt ». Un documentaire passionnant co-écrit par Gilbert TARONI, ancien normalien, et un pote à lui dont le nom a logiquement échappé à la mémoire de Gègène puisque ce garçon n’était pas passé par Bonneville. On y découvre la carte postale ci-dessus représentant notre vénérable école de formation.
Le tampon de la poste partiellement effacé ne nous permet pas de savoir l’année, mais les philatélistes avertis auront bien remarqué que l’envoi avait coûté 10 centimes. Quant à Gègène, il s’est procuré le livre pour la modique somme de 5 francs 6 sous dans la librairie de Samoëns. Eh oui, quand on veut se cultiver, on ne compte pas les kilomètres.
Oh, j’ai oublié de dire : le bouquin serait épuisé. C’est balo…
Pour mémoire, l’EN a été inaugurée le 28 août 1887 et la première promo est entrée le 13 octobre : une dizaine de gars bien et sérieux, cravatés et gominés, tous titulaires du Brevet élmentaire.